Une atténuation de la douleur peut se dérouler 2-3 jours après.
Ces douleurs menstruelles se ressentent généralement dans le bas du ventre, mais peuvent aussi se propager au niveau du dos, voire irradier les jambes.
La douleur peut être perçue de façon différente d’une femme à l’autre : certaines peuvent ressentir une simple gêne, tandis que chez d’autres, des douleurs modérées ou intenses à type de crampes, de spasmes peuvent se manifester.
Ces douleurs peuvent être associées à un ou plusieurs des symptômes suivants : Ces symptômes, qu’ils soient d’origine physique ou psychologique, sont liés à ce que l’on appelle aussi le « syndrome prémenstruel ».
Les douleurs liées aux règles peuvent s’accompagner d’autres symptômes tels que des saignements intervenant entre les règles, une abondance anormale des règles, etc.
Dans tous les cas, s’ils surviennent trop fréquemment, il est conseillé de consulter un gynécologue pour en discuter.
Deux types de dysménorrhées peuvent être distinguées :Ce genre de dysménorrhée apparaît à l’adolescence, dans l’année suivant les premières règles, et survient à presque tous les cycles ovulatoires.
Contrairement aux dysménorrhées secondaires, celles-ci ne sont pas liées à des pathologies structurelles d’ordre gynécologique.
La douleur est générée en raison de contractions et d’une ischémie utérine médiées par les prostaglandines et d’autres médiateurs (messagers) inflammatoires produits par la muqueuse de l’utérus, l’endomètre.
Par ailleurs, un régime alimentaire pauvre en graisses et combiné à des compléments nutritionnels tels que les omégas-3, graines de lin, magnésium, vitamine E, zinc et vitamine B1 sont aussi réputés pour être efficaces.
Sa surproduction entraîne des douleurs plus intenses à l’arrivée des règles, par une augmentation anormale de la contractilité du muscle utérin.
Généralement, les dysménorrhées primaires s’atténuent avec le temps ou disparaissent même spontanément au bout de quelques années.
La dysménorrhée secondaire apparaît plus tardivement chez une femme présentant des affections au niveau gynécologique.
L’exercice physique ainsi qu’un régime alimentaire réduit en caféine, sucre et alcool permettent d’atténuer l’intensité de ces symptômes.
Elles apparaissent de manière cyclique, soit à chaque menstruation.
Dans la plupart des cas, ces douleurs durent 1 à 3 jours : elles débutent par un saignement modéré puis atteignent un pic maximal 24 heures après le début des règles (associées à un saignement plus important).
Il s’agit d’un phénomène naturel, n’entraînant pas de conséquence grave.
Le syndrome prémenstruel (SPM) désigne l’ensemble des manifestations physiques, cognitives, émotionnelles ressenties par certaines femmes dans les 2 à 10 jours précédant le début des menstruations.
Généralement, ces manifestations s’atténuent lorsque les règles débutent.
Les prostaglandines sont des substances provoquant des contractions utérines et qui favorisent l’expulsion de la muqueuse utérine.
La dysménorrhée est le terme médical employé pour désigner les douleurs survenant pendant les règles ou un peu avant.
Si cette période est trop douloureuse les patientes reçoivent généralement des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), dont le rôle est de réduire la sécrétion de prostaglandines, réduisant ainsi la sécrétion de prostaglandines Réduire la douleur.
Pour garantir les meilleurs résultats, il est préférable de ne pas attendre trop longtemps pour éviter l’apparition de la douleur et de ne jamais dépasser la dose maximale recommandée.
Cependant, pour les femmes atteintes de certaines maladies touchant le tube digestif, le cœur, le foie ou les reins, ce Le traitement à base d’AINS est toujours contre-indiqué.
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