Le repos est nécessaire pour une bonne rééducation du tendon après on peut rééduquer pour restaurer sa résistance et son élasticité.
Après un court repos complet (éventuellement attelles ou orthèses) (plâtres qui maintiennent les tendons en position détendue), ce repos doit être relatif et sous le contrôle du kinésithérapeute en rééducation fonctionnelle.
Pour la fatigue tendineuse et les douleurs aiguës, une rééducation fonctionnelle assurée par un kinésithérapeute peut être mise en place, la durée du traitement étant de trois à six mois.
Ce type de rééducation utilise de multiples techniques: étirements doux, exercices de renforcement (appelés «renforcement excentrique»), échographie, dite ondes de choc «radiales», et massage latéral profond en dix sens.
Tang et coll.
Son but est de stimuler la formation de nouvelles fibres de collagène complètement alignées sur la longueur du tendon.
Rééducation fonctionnelle pour tendinopathie
Augmenter progressivement la tension appliquée au tendon pour favoriser la cicatrisation fonctionnelle.
L’ostéopathie peut être utilisée, notamment pour corriger les problèmes de posture.
Dans certains cas, les médecins prescrivent des médicaments pour combattre la douleur, stimuler la cicatrisation ou, le cas échéant, combattre l’inflammation.
Médicaments pour la tendinopathie
Certains analgésiques classiques, comme le paracétamol, peuvent être prescrits en phase aiguë pour améliorer la qualité de vie, mais ils n’ont aucun effet positif sur la cicatrisation tendineuse et peuvent même faire croire à tort que c’est rassurant.
Interférer avec la phase de repos de base), il doit donc être utilisé aussi court que possible.
Anti-inflammatoires oraux ou topiques pour la tendinopathie
Ils ne conviennent que pour les cas de douleurs (ténosynovite) causées par une inflammation de la gaine qui protège le tendon, dans d’autres cas, l’usage le plus courant n’est pas bénéfique.
apporter.
Traitement de la tendinopathie invasive
Il peut soulager la douleur sans les effets secondaires des anti-inflammatoires non stéroïdiens oraux, dont la plupart ne nécessitent pas de prescription.
Les gels contenant du kétoprofène peuvent provoquer une photosensibilité.
Pendant le traitement et 15 jours après l’arrêt du traitement, le médecin peut également décider de créer une méthode d’infiltration, c’est-à-dire des injections à proximité ou même dans les tendons douloureux.
Traitement de la tendinopathie invasive
Depuis plusieurs années, lorsque la tendinopathie résiste au repos et à la récupération, les rhumatologues pratiquent une infiltration de PRP (plaquettes riches en plasma), c’est-à-dire que le plasma est riche en plaquettes obtenues après centrifugation de l’échantillon sanguin d’un patient.
3 injections (à 3 à 6 semaines d’intervalle) sont injectées directement dans le tendon et doivent être effectuées sous surveillance médicale.
Le principe est d’introduire des facteurs de croissance (contenus dans les plaquettes) directement dans le tendon.
Cependant, l’efficacité est encore discutable.
En cas d’inflammation de la ténosynovite, parfois l’infiltration d’anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) durera un court laps de temps.
, Il y a encore une controverse.
Les injections de corticostéroïdes («cortisone») ne sont pas recommandées.
Si ce traitement a des effets analgésiques immédiats, ces effets sont de courte durée.
La durée et les corticostéroïdes semblent retarder le processus de guérison.
Si la tendinopathie persistante ne peut être soulagée par le repos, les médicaments et la physiothérapie, une intervention chirurgicale peut être envisagée.
, Rupture musculaire, allongement des tendons, etc.
Les complications rares comprennent l’infection, les lésions nerveuses, la raideur articulaire, la faiblesse musculaire, etc.
La rééducation est essentielle à une bonne récupération.