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En 2022, mal de dos ? Soulagez naturellement vos douleurs – Theratex

C’est un problème qui a une grande tendance à devenir chronique, provoquant une douleur sourde et constante plus fréquemment en fin de journée, même au repos, qui peut être aggravée par une certaine posture, et il est très caractéristique que le patient ressente un soulagement en appuyant fortement sur la zone “jusqu’à ce qu’il ressente une douleur qui le soulage”. Les causes des douleurs dorsales au niveau du dos sont variées : • La douleur dorsale peut être causée par le maintien de mauvaises postures pendant une longue période, surtout lorsqu’on est assis, qu’on tousse à répétition, qu’on se tourne brusquement ou qu’on est exposé au froid. L’épine dorsale est située à l’arrière et présente une légère cyphose de base, c’est-à-dire une courbure vers l’arrière (concave vers l’avant et convexe vers l’arrière) qui est prolongée par les côtes sur le côté. S’il y a une déformation au niveau des omoplates comme dans le syndrome de la “Scapula Alata” (“l’omoplate ailée”), l’évaluation doit être plus approfondie, de même que s’il y a un syndrome du cruciforme supérieur. Le physiothérapeute effectuera toujours un examen physique pour évaluer la musculature, les os et la mobilité de la colonne vertébrale, ce qui est généralement suffisant s’il s’agit d’un mal de dos qui n’a pas de cause sérieuse. Pour continuer, tous les patients devraient améliorer leur posture pour éviter les mauvaises positions comme l’avachissement, surtout en position assise, de sorte qu’on leur enseignera l’hygiène posturale comme mesure préventive et thérapeutique à la fois. • Le stress continu et la somatisation émotionnelle sont généralement une cause assez fréquente de dorsalgie, car comme il s’agit d’un muscle lisse de nature tonique et posturale, il est fortement influencé anatomiquement et physiologiquement par le système végétatif autonome (sympathique et parasympathique), ce qui le rend particulièrement sensible aux influences émotionnelles. Il est fortement recommandé de faire une radiographie pour évaluer l’état des composantes osseuses de la colonne vertébrale, les éventuelles déformations cyphotiques ou dorsales plates, les scolioses ou pour évaluer les articulations intervertébrales ainsi que les disques et les corps vertébraux, ce qui permet d’exclure tout problème grave et peu fréquent comme une tumeur. En général, la douleur dorsale ou la dorsalgie est ressentie d’un côté ou de l’autre du dos, bien qu’elle puisse aussi être bilatérale. Dans les cas plus graves, les examens suivants peuvent être nécessaires : IRM et tomodensitométrie si l’on soupçonne une hernie discale, ou radiographies pour détecter d’éventuelles fractures ou anomalies osseuses congénitales. L’omoplate angulaire, bien qu’elle soit étroitement liée à la colonne cervicale, est aussi habituellement un muscle très impliqué dans le tableau de la dorsalgie. En général, le médecin prescrira des anti-inflammatoires (AINS, stéroïdes, analgésiques, etc.) qui apportent généralement peu de soulagement et si l’on constate une amélioration, celle-ci est généralement temporaire, car ils n’agissent pas sur la cause du problème. • Les difformités existantes, les personnes ayant une tendance cyphotique, une scoliose ou un dos excessivement plat peuvent être plus sensibles à la dorsalgie bien qu’elle ne soit pas un déclencheur primaire. Les symptômes les plus fréquents du mal de dos se situent dans la zone du haut du dos, entre les omoplates, que de nombreux patients décrivent familièrement comme “l’épaule”. Les techniques les plus utilisées pour le traitement des douleurs dorsales sont : • l’application de chaleur dans la zone pour provoquer la relaxation de la musculature • la manipulation de la colonne vertébrale au moyen de techniques manuelles rapides et de courte amplitude (ostéopathie), qui seront également utilisées avec une pertinence particulière dans les cas de blocage des articulations. Il existe une variété de traitements instrumentaux, tels que le laser ou la tecarthérapie dans le cadre de la physiothérapie pour le traitement aigu de la dorsalgie, ainsi que des applications spécifiques de bandages neuromusculaires, également appelés kinésiotaping pour détendre les muscles dorsaux. Le patient peut souffrir de douleurs dorsales non spécifiques, lorsque les tests diagnostiques (IRM, CT, etc.) Il convient d’écarter certains types de pathologies non liées au champ d’action du physiothérapeute, car les symptômes peuvent également être causés par des maladies graves comme le cancer ou la pneumonie. Par conséquent, la meilleure chose à faire serait de consulter un physiothérapeute pour traiter la douleur, qui est habituellement déclenchée par plus d’une cause. • Les maladies auto-immunes, telles que la spondylarthrite ankylosante ou la polyarthrite rhumatoïde, attaquent la colonne vertébrale et peuvent donc être liées aux cas plus graves de douleurs dorsales qui sont facilement diagnostiquées par le médecin. Une autre technique pertinente comme la ponction sèche (acupuncture) pour le traitement des points trigger est l’une des plus utilisées de nos jours, et les symptômes de la dorsalgie peuvent disparaître après quelques jours. • Des hernies discales ou des processus discaux dégénératifs, bien que la région de la colonne vertébrale la moins sujette à ces problèmes discaux, se produisent également et peuvent déclencher ou aggraver un état de dorsalgie. Nous évoquons un cas de dorsalgie lorsque nous ressentons des douleurs et tensions au niveau de la cage thoracique, entre la zone des cervicales (appelée la nuque) et les lombaires (dans le bas du dos). La cage thoracique contient des viscères importants, tels que le cœur et les poumons, qui sont indispensables à la vie. En général, l’examen palpatoire permettra de déterminer dans quelle région se trouvent les muscles contractés et fibreux. Les principaux muscles qui génèrent la zone douloureuse de la dorsalgie sont ceux qui sont profondément situés dans le muscle trapèze ; ce sont les rhomboïdes mineurs et majeurs et les muscles spinaux qui sont situés en dessous d’eux. Bien que cela soit très rare, il est important que vous consultiez votre médecin dans le cas où votre dorsalgie se perpétue dans le temps. Ces cas de stress qui affectent la région dorsale doivent être traités avec des plantes médicinales spéciales, spécifiées dans les vidéos à la fin de cet article. • Les points Trigger myofasciaux au niveau dorsal représentent des zones localisées de douleur irradiant vers d’autres zones.

Ce qui provoque le mal de dos – les dorsalgies nerveuses, musculaires, et ostéo articulaires – Theratex

C’est surtout le cas au niveau des vertèbres lombaires, situées en bas de la colonne et au carrefour de nombreuses forces (pression, poids, cisaillement, etc.). Les pincements nerveux au niveau d’articulations arthrosiques sont décrit de la même manière : lors d’un mouvement, une douleur vive et foudroyante apparaît au niveau du conflit nerveux et peut irradier, comme dans le cas d’une hernie, vers la zone d’innervation concernée. Il survient brutalement au niveau des lombaires, après un faux mouvement, et est accompagné d’une sensation “de rupture”, “de déchirement” ou “de claquage”. La colonne vertébrale est constituée de 24 vertèbres (7 cervicales, 12 dorsales ou thoraciques, 5 lombaires), auxquelles s’ajoutent des vertèbres “soudées” que sont le sacrum et le coccyx. La colonne vertébrale, qui présente à l’état physiologique une courbure naturelle, peut alors se déformer dans plusieurs sens, le plus courant étant la déformation latérale (penché sur le côté). Les dorsalgies étant souvent associées des mauvaises postures, il vous faudra corriger vos habitudes au quotidien : adopter les bonnes positions dans la vie de tous les jours, faire de l’exercice adapté pour muscler le dos et les abdominaux, etc. Le mal de dos est même appelé “mal du siècle”, tant il est difficile d’y échapper, et malheureusement parfois de s’en débarrasser. Entre les vertèbres mobiles, les disques intervertébraux (constitués d’un anneau de cartilage fibreux et d’un noyau gélatineux) permettent les mouvements de la colonne et jouent un rôle d’amortisseur. Au niveau de la colonne vertébrale, l’ostéoporose reste souvent asymptomatique, les douleurs étant provoquées davantage par les fractures possibles au stade avancé de la maladie. Ces usures chroniques peuvent conduire à une destruction progressive des cartilages situés entre chaque articulation et créer de l’ arthrose (atteinte rhumatismale dégénérative), à l’origine de douleurs. Dans beaucoup de cas, ces mesures préventives sont suffisantes pour soulager un mal de dos passager, et pour éviter qu’il ne réapparaisse. Ce sont tout particulièrement les articulations postérieures (arrières) qui sont le plus susceptibles de pâtir de nos mauvaises positions, du port de charges, etc. Ce déplacement reste souvent asymptomatique, mais il peut provoquer des douleurs, localisées dans le bas du dos et irradiant parfois vers les cuisses. En favorisant la formation de petites excroissances osseuses (appelées “becs de perroquet”), l’arthrose peut aussi être responsable de pincements nerveux. A un stade avancé, l’arthrose peut également être responsable d’un rétrécissement du canal rachidien, également appelé sténose lombaire. Selon l’étage vertébral de la racine nerveuse, il peut s’agir d’une sciatique (nerf sciatique qui innerve la partie postérieure de la cuisse et de la jambe) ou d’une cruralgie (nerf crural qui innerve la partie antérieure de la cuisse). D’autres déviations de la colonne peuvent s’avérer douloureuses, la plus fréquente étant la scoliose. Ces douleurs sont le signe d’un conflit au niveau d’une racine nerveuse ou d’un ligament très innervé (comme le ligament postérieur de la colonne vertébrale), provoqué par une hernie discale ou une excroissance arthrosique. Souvent, il n’y a pas d’atteinte particulière au niveau des articulations ou des disques. L’atteinte vertébrale touche davantage les femmes que les hommes, particulièrement après la ménopause et la chute du taux d’œstrogènes. Cette affection, caractérisée par une diminution de la densité osseuse, peut toucher tout le squelette. L’ostéoporose peut aussi être secondaire à la prise prolongée de corticoïdes, à des phases de malnutrition ( anorexie mentale par exemple) ou à la pratique sportive intense. C’est le cas de la spondylarthrite ankylosante, une maladie auto-immune qui se manifeste par des poussées d’arthrite et par une inflammation des tendons et des ligaments. Mais si une douleur apparaît, elle s’apparente souvent à une douleur de sciatique (arrière de la cuisse) ou de cruralgie (avant de la cuisse). Les douleurs sont accentuées par la toux, les éternuements, la défécation. Votre médecin procédera à un examen approfondi et à un interrogatoire complet avant de vous prescrire, éventuellement, des examens complémentaires pour confirmer son diagnostic. Le bas de la colonne vertébrale et l’articulation sacro-iliaque sont les localisations préférentielles de cette maladie, qui touche plus fréquemment les adolescents et les jeunes adultes. A l’intérieur de ce canal (canal rachidien), se trouve la moelle épinière. Cette atteinte correspond à une exagération de la courbure naturelle de la colonne au niveau des vertèbres dorsales, provoquant une impression de “dos courbé”. Il pourra alors vous proposer, si besoin, un traitement adapté.