La dystrophie musculaire ou dystrophie cornéenne correspond à la raideur progressive et douloureuse des articulations, ce qui augmente la déminéralisation des os après une certaine évolution.
Elle est le plus souvent secondaire à une intervention chirurgicale, voire à un traumatisme mineur, qui a plus ou moins « mal » cicatrisé « , à une entorse ligamentaire ou à tout autre dommage de l’articulation (parfois après un exercice trop intense).
Dystrophie de l’épaule
La dystrophie musculaire est généralement appelée «syndrome épaule-main».
Elle se manifeste par une douleur intense à l’épaule qui s’étend jusqu’au cou et aux bras, et s’aggrave lorsque les articulations sont resserrées.
Premièrement, la main deviendra chaude et moite, les doigts du patient enfleront et le dos de la main apparaîtra œdème 3.
Malnutrition de la cheville
La dystrophie de la cheville peut survenir quelques semaines après une entorse, une fracture, une intervention chirurgicale ou une activité sportive, et peut également affecter toutes les articulations des pieds.
Il faut éviter de faire de l’exercice et de porter des poids.
Par exemple, les piscines sont plus adaptées que la course, non fonctionnement.
Dystrophie démusculaire du genou
La dystrophie se caractérise par une douleur au genou et une raideur progressive, ce qui rend difficile ou même incapable de bouger le genou sans douleur.
Des traumatismes graves ou mineurs surviennent généralement: entorses, fractures et luxations.
L’installation du genou ou du plâtre rend le genou incapable d’être fixé, puis le genou se raidit progressivement, il est difficile de bouger les articulations et la douleur le rend difficile à soutenir, voire incapable de soutenir.
Au début, il est chaud et enflé.
Avec le temps, le genou deviendra particulièrement froid.
Dans certains cas, l’utilisation de radiographies du genou ou de scintigraphies osseuses peut être bénéfique et montrer qu ‘« il n’y a pas de déminéralisation osseuse et il n’y a pas d’autres maladies qui peuvent provoquer des signes cliniques.
Des analgésiques sont administrés, puis une thérapie physique, comme un massage, physiothérapie, hydrothérapie et ostéopathie, elle a tendance à disparaître spontanément en interne.
Sa période d’apparition est de deux ans, mais s’il peut être diagnostiqué et traité tôt, il se résorbera plus rapidement.
Il s’agit du syndrome complexe régional de douleur du genou (SDRC), qui se caractérise par une douleur et une raideur au genou.
La dystrophie atrophique se manifeste par une douleur diffuse et profonde, parfois telle que brûlure ou décharge électrique, impuissance fonctionnelle, hypokinésie ou incapacité à utiliser les zones sensibles; l’amélioration spontanée est très lente et progressive, mais ne laisse généralement pas de séquelles.
Le diagnostic de la dystrophie musculaire est difficile, et est généralement effectué par élimination, ce qui signifie que la possibilité d’autres diagnostics liés aux symptômes.
Les examens cliniques sont rarement efficaces pour confirmer le diagnostic Les examens complémentaires sont une bonne indication, mais ils ne sont pas non plus satisfaisants.
Enfin, tant qu’il existe des preuves suffisantes, comme des antécédents de traumatisme ou de chirurgie, la condition s’aggravera de plus en plus.
Si elle persiste, elle peut être diagnostiquée .
Même une légère irritation peut provoquer des douleurs, une raideur articulaire, une réduction de l’amplitude des mouvements (fatigue musculaire dans 50% des cas), une déminéralisation des os clignotants ou une ostéoporose visible sur les radiographies tardives, à condition qu’un examen soit utile pour le diagnostic.
La cause exacte de la neurodystrophie ne peut être diagnostiquée avec précision, mais certains facteurs de risque, tels que les traumatismes articulaires, la chirurgie, les fractures ou les entorses, peuvent être à l’origine de symptômes.
L’objectif principal est de faire face à la douleur.