On peut distinguer plusieurs formes : thrombose, prolapsus, érosion et crise simple.
En cas de douleur, le principal diagnostic différentiel de la pathologie hémorroïdaire est la fissure anale, l’abcès, le fécalome, l’herpès ou la douleur rectale transitoire.
On distingue : le plexus veineux interne, dans la partie supérieure du canal anal, muqueuse inférieure et le plexus veineux externe, dans la partie inférieure, sous la peau.
Cependant, lorsqu’il y a saignement, l’examen clinique ne peut pas confirmer qu’il s’agit d’hémorroïdes.
Mode de vie
Il est recommandé d’adopter une attitude plus spécifique vis-à-vis de l’utilisation des toilettes : la poussée doit être limitée et la sédentarité doit être évitée.
Si le déclencheur est clairement identifié, vous pouvez envisager d’éviter le déclencheur.
Le plexus veineux interne est plus gros à certains endroits et est appelé « pack » ou « coussin » d’hémorroïdes ; il est généralement possible de faire la distinction entre les côtés gauche et droit.
La pathologie des hémorroïdes affecte le plexus veineux du canal anal.
En principe, les coussinets hémorroïdaires participent à l’occlusion du canal anal par le sphincter et participent donc à la contention anale.
C’est une maladie liée au mode de vie.
Manifestations cliniques
La douleur évidente n’est pas typique et d’autres causes doivent être recherchées (fissure anale ou infection).
L’examen clinique proctologique peut inclure l’examen ou la palpation de l’anus et de la région périanale, un toucher rectal et une anoscopie pour établir un diagnostic et écarter d’autres maladies.
Aucune recommandation ne peut être faite pour l’utilisation topique des bains froids ou des bains de siège.
Les médicaments pour la pathologie des hémorroïdes, y compris plusieurs médicaments, ont peu de preuves de leur efficacité.
L’objectif commun du traitement par dispositif de la pathologie hémorroïdaire est de provoquer une fibrose, fixant ainsi la muqueuse et réduisant la vascularisation ; ces traitements sont réalisés en ambulatoire par endoscopie sans anesthésie.
Ainsi, en cas d’hémorragie, pour les patients de plus de 40 ans, il est nécessaire de rechercher d’autres causes dans un court laps de temps (polypes ou tumeurs).
Coloscopie ou scanner du côlon.
D’autres manifestations affecteront le plexus interne.
Les manifestations pathologiques des hémorroïdes sont des manifestations fonctionnelles intermittentes.
Il en existe trois types principaux : la ligature élastique, la photo coagulation et la sclérothérapie.
Physiopathologie
Le traitement chirurgical de la pathologie hémorroïdaire est limité à la forme principale ou en cas d’échec du traitement avec des médicaments ou des dispositifs.
La principale différence est la thrombectomie, l’hémorroïdectomie et la fixation des hémorroïdes.
L’intervention peut se faire sous anesthésie locale ou générale selon le comportement à réaliser.
L’aggravation des symptômes en cas d’ingestion avec des épices n’a pas été scientifiquement prouvée.
Les symptômes sont principalement des saignements (généralement après défécation), des douleurs, une gêne locale, des exsudations ou des démangeaisons dans 10 % des cas.
Lorsque la pathologie évolue depuis plusieurs années, les douleurs peuvent être quotidiennes, les saignements peuvent être abondants et les démangeaisons peuvent être permanent.
Physiopathologie
En cas de saignement, le principal diagnostic différentiel est celui d’un autre système digestif, principalement le côlon ou le rectum.
Aucune inspection supplémentaire n’est requise pour le diagnostic.
La grossesse, l’accouchement et le post-partum des femmes sont également des facteurs contributifs.
Il est efficace pour réguler le transport des fibres par l’apport alimentaire.
Boire ou manger des aliments épicés peut provoquer une crise d’hémorroïdes.
Des antécédents familiaux sont souvent rapportés.
Plusieurs facteurs expliquent son apparition. Les hémorroïdes sont asymptomatiques Taux de morbidité en sept décennies.
Physiopathologie
Les troubles de la transmission, tels que la constipation, les selles difficiles ou la diarrhée, semblent jouer un rôle majeur, même s’ils ne sont pas systématiquement présents.
Les données de la Société nationale colorectale française remontent à 2001.
En raison d’un cancer, d’une hémorragie colique ou rectale, certains critères de pratique de la coloscopie peuvent être discutés : antécédents médicaux familiaux et personnels, âge avancé, détérioration de l’état général, douleurs abdominales, saignements atypiques, anémie.
Il a plusieurs aspects.
Le principal traitement médical de la pathologie hémorroïdaire est de lutter contre les troubles de la transmission, notamment la constipation, qu’il faut prévenir ou réduire.
Le traitement chirurgical convient au traitement des états pathologiques réfractaires avec des instruments.
Instructions
En cas de pathologie des hémorroïdes internes, le système de traitement comprend des recommandations pour le renouvellement des fibres et l’utilisation des toilettes.
L’hypothèse mécaniste soutient un relâchement accru dans l’organisation.
Les deux principales théories des vaisseaux sanguins et des machines coexistent.
Les traitements spécifiques, en premier lieu la pharmacothérapie de stade 1 à 3, peuvent utiliser des médicaments oraux dans un court laps de temps.
Le traitement local seul n’est pas pris en charge, mais dans la plupart des cas, ce traitement est associé à une médication orale pour un traitement à court terme, et il n’y a aucune preuve que cette combinaison soit supérieure .
Lorsque l’effet du traitement médicamenteux n’est pas bon, un traitement par équipement peut être proposé, et la ligature à l’élastique est la plus efficace.
Des obstacles au transport liés au traitement peuvent être prescrits.